reims \bourges

bon match des filles
une BELINDA de grande classe
une CELINE impatiente de rentrer
du bon champagne(y parrait)petillant ds les yeux des supporters
tres bon accueil des remois
tres belle salle
voila pour les ++++

car ya un enorme -
une salle frigorifique
a part ça un agreable deplacement

L'adresse revient petit à petit !!! Les filles ont toutes eu l'heure quart de gloire dans le match
Une cap's qui s'est échauffée, bien motivée et bien speed (elle a hâte, ca la démange!!!)
Une belle salle, peu de supporters de Reims, mais belle victoire au final de nos filles.

Une victoire !!! C'est bon pour le moral ^^ 74-54 c'est bien ça ? Bon sinon vous semblez tous ravis, les joueuses retrouvent leur adresse ! Que demander de plus ??!!

Un déplacement agréable où les supporters présents ont bien poussé leur équipe , même si certains chants n'étaient pas parfaits,cela viendra avec le temps! Coup de chapeau aux bénévoles rémois pour leur accueil et tout le travail effectué devant un public restreint et dans une salle très froide. Un très bon champagne également. Un bon match de nos filles qui ont pu toutes s'exprimer même si c'était du banc pour Céline qui piaffait d'impatience, et une adresse retrouvée ... mais cela me semble logique car la pression exercée par Reims sur nos shooteuses n'avait rien de comparable à celle que j'ai vue à Prague et à Salamanque, les filles étaient donc dans de meilleures conditions pour ajuster leur shoot. Cette victoire va faire du bien à toute l'équipe!

Morceaux choisis dans le Berry Républicain du jour :

Citation :

deuxième quart-temps d'un piètre niveau. Il fut à l'image du jeu berruyer, en ce moment : pas franchement flamboyant. On l'a vu à Prague, à Salamanque, comme face à Saint-Amand-les-Eaux : les joueuses de Pierre Vincent ont vraiment du mal à se trouver, offensivement. Et quand, en prime, c'est opérations portes ouvertes en défense...
[...]
Les joueuses de Philippe Sauret, devant un adversaire bien apathique et franchement peu inspiré à cet instant, se firent une joie d'empocher le deuxième quart, et sans discussion aucune encore (18-13)

Citation :

Il n'y eut plus, durant tout ce troisième quart-temps, qu'une seule équipe sur le terrain. Cathy Melain y alla de son trois points, Endy Miyem, l'enfant du pays, la régionale de l'étape, donna à ses couleurs vingt points d'avance (37-57, 29e). Cette fois, les Tango avaient mis la main sur la rencontre. Et Reims se retrouva dépassé par les événements, aussi bien en défense qu'en attaque.
[...]
Endy Miyem se rappelait au bon souvenir du (bien maigre) public local, pendant que Pierre Vincent pouvait enfin donner du temps de jeu (dix minutes, pour 4 points et 2 sur 3 au shoot) à Ana Cata-Chitiga

Citation :

Mercredi soir, au Prado, face à l'énorme potentiel russe d'Ekaterinbourg, il faudra quand même montrer tout autre chose...

C'est pas vrai ?
Moi j'serais bien tenté de dire... t'inquiètes paupiette !!!

bizare ce papier du berry c'est vraiment pas le sentiment ressenti sur place
le deuxieme quart temps m'a donne l'impression d'un controle de bourges
laisser jouer sans se faire distancer et accelerer en 2eme periode
on sentait que cette equipe de reims etait a son max en fin de 1ere periode
elles allaient forcement baisser de rythme ça se sentai
et que bien sure elle ne vont pas jouer commes ça mercredi
elles connaissent la diff entre reims et ekateri
bourges a toujours fait de gros match contre les grosses equipes
mr vincent n'est pas seulement un coach c'est un preparateur et connait parfaitement ses joueuses
le resultat je sais pas mais je sai qu'elles feront un grand match

également sur place je suis d'accord avec Hervé et l'évaluation sur la fiche de stats ne peut que le confirmer . Au sujet des stats c'est Steph Vivenot que nous avons pu retrouver avec plaisir qui s'y collait emmitouflées dans une doudoune avec un chale sur les épaules ce qui vous donne une idée de la température régnant dans le gymnase Du mieux c'est sur mais l'opposition était quand même modérée.
Vivement Mercredi pour voir un match très disputé dans de bonnes conditions .
Au fait pour les mauvaises langues nous n'avons ni bu ni rapporté de champagne

Ben moi j'en ai bu et rapporté du champagne et j'en suis fier
Je suis d'accord avec Francois sur l'étrangeté de cet article sur le Berry, on a pas du voir le même match qu' Hervé apparement, m'enfin c'est lui le spécialiste puisqu'il fait les articles
Cette équipe de Reims n'est pas arrivée en victime d'un Bourges revanchard suite a Salamanque !!!!
Evidemment que Bourges n'a sûrement pas livré son meilleur match mais moi je m'en fous car elles ont gérées trankilou pour éviter les blessures et ne pas se fatiguer suite a ses déplacements consécutifs, la vraie valeur on la verra Mercredi
Je rejoins Monique pour les remerciements aux bénévoles de Reims, vraiement trés sympa cet accueil

ahhhhhhh c'est quiiiii ???? pour une fois que c'est pas moi qui me vautre !!!! mouhahhaahahaaa

ah oui les ptites bulles !!!! Ca risque de me faire venir ça ^^

Très joli ce paquito

Bin moi, j'suis pas allée en Champagne, mais ça m'a pas empêché d'en boire samedi soir pour arroser la victoire, na !!!

Et tu as eu bien raison.

Voici ce qu'on peut trouver dans les vitrines de Reims :

pas mal du tout

c'est clair!

Le Berry Républicain en remet une couche aujourd'hui !

Ils n'ont pas pour habitude de racontrer trop de conneries, vous en pensez quoi de leur point de vue là ?


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On n’a pas vu un grand Bourges Basket, samedi soir, face à une équipe rémoise qui a tenu vingt minutes. Après Salamanque, Saint-Amand et Prague, il y a forcément de quoi se poser des questions. Même (et surtout) s’il n’y a pas le feu au lac...


On va faire un peu de provoc’ : depuis quatre matches, le Bourges Basket ne nous semble pas très convaincant. Pas serein. Pas bien dans ses baskets, ce qui n’occulte en rien les qualités de coeur, de volonté, de combativité, de ses joueuses.

On va vous reparler dans quelques lignes de ce Reims - Bourges de samedi soir, qui a vu les Champenoises menées de seulement deux points à la pause. Pour rester dans le championnat, la venue au Prado de Saint-Amand n’avait pas été de tout repos. La formation nordiste menait même 51-47 à la 30e, devant une formation berruyère incapable de marquer plus de trois paniers dans le 3e quart. Bourges enchaîna par un 10-0, mais Saint-Amand sut revenir, pour un succès berruyer 72-64.

En Euroligue, les deux déplacements se sont soldés par autant de défaites. Jeudi dernier, à Salamanque, les joueuses de Pierre Vincent furent certes victimes de l’arbitrage dans le dernier quart. Mais elles ont également eu les occasions, les lay-up et les shoots ouverts, pour s’imposer en Castille. Et que dire du match de Prague, marqué par une énorme maladresse berruyère ? Celui-là, il devrait être logiquement dans l’escarcelle tango. Même si on sait que logique et sport ne font pas toujours bon ménage.

Reims a souffert d’un manque de rotations Logiquement toujours, on aurait dû voir Bourges dérouler face au promu rémois. Il suffit de regarder la composition des deux équipes (sans rien enlever aux mérites des Champenoises) pour penser qu’il ne devait pas y avoir photo. Sauf que les Jacquistes, en empochant le 2e quart, parvinrent à rentrer au vestiaire avec seulement deux points de handicap. « En première mi-temps, on a pu développer notre jeu. On a moins de taille, on doit mettre de la vitesse pour compenser. C’était notre seule façon d’exister face à la défense de Bourges. D’ailleurs, ensuite, on a été bloqué. Alors oui, on a accroché Bourges pendant vingt minutes. Mon seul regret, c’est que mes jeunes joueuses ont regardé jouer leur adversaire, au lieu de prendre leurs responsabilités. En rotations, on était trop juste. On n’est pas dans la même cour. » Surtout en l’absence de Fleury-Kindoki (entorse de la cheville).

Pierre Vincent, le coach berruyer, tenait d’ailleurs à souligner la qualité de cet adversaire champenois. « Reims a fait un bon match. En 2e mi-temps, on a su mettre en place une défense plus forte et mettre ensuite le ballon où on le désirait. » Dans le 3e quart essentiellement, doit-on souligner. « Notre objectif c’était d’accentuer notre pression, d’avoir plus d’ambitions sur les lignes de passe. Et de ce point de vue, j’ai vu de bonnes intentions, qui m’intéressent », assura Pierre Vincent.

Qui regretta une fois encore quelques manquements offensifs : « On a les tirs ouverts, on les tente mais on ne les met pas toujours. On est sur un tempo rapide en attaque. On a les situations favorables, on tire vite et finalement on s’y perd parfois, parce que dans cette configuration on n’est pas préparé au rebond offensif. »

Où est l’attaque?

Sur ce coup-là, sur cette sortie rémoise certes victorieuse mais pas emballante, on a trouvé le coach tango bien gentil, pour tout vous dire. Point de vue de technicien qui s’inscrit dans la durée, qui observe plus la progression de son équipe que l’immédiat, forcément.

On le comprend. Mais force est aussi de s’apercevoir que cette équipe tango voulue plus offensive en est à... 65 points inscrits en moyenne, sur les quatre derniers matches.

On avancera aussi qu’en ces occasions, on n’a pas assez vu les Tango imposer leur jeu. Bien sûr, l’absence de Céline Dumerc (qui piaffe d’impatience, et qui devrait être de la partie face à Montpellier samedi) pèse lourd. Mais il faudra que Caps retrouve le rythme de la compétition. Et mercredi, c’est Ekaterinbourg qui débarque au Prado. Il faudra montrer tout autre chose !

Hervé Le Fellic

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