finale

caps forever a écrit:

si tu peux les matchs sont retransmis sur sport+ !!!

Mes parents ont sport +

Je suis convaincu d'une chose ...

Tout se jouera samedi !!!

1) Bourges Basket devrait logiquement remporter le titre. J'y serai enfin
2) Le PSG battra Saint Etienne

Bon déja Seb ça en fait 2 des choses et puis ta N°2 et bien comment dire ?????
On s'en fout, je crois que ça résume pas mal

La Une du Midi-Libre d'aujourd'hui :

www.midilibre.com a écrit:

Les Montpelliéraines défient l'Histoire

Après avoir battu Valenciennes, le BLMA s'est invité en finale et s'apprête à vivre un épisode historique de sa jeune existence.

C'est un grand jour, il deviendra peut-être historique, comme le fut le 4 mai 2003 pour le Montpellier Handball. A chacun son palmarès, ses rêves de grandeur... Le BLMA est néophyte dans ce contexte de premier rôle. Aussi, à situation exceptionnelle, et instruit d'une expérience à peu près similaire avec Jean Galle à Cholet, Valéry Demory a imposé un "silenzio stampa" à ses filles, « afin de leur éviter de jouer la finale trop tôt... » Depuis samedi soir, ces dernières se sont murées dans le silence. Gaëlle Skrela, la plus ancienne du lot (au niveau présence au club), a juste eu le temps de glisser, « oui, on est redescendues de notre nuage... On est en train de vivre quelque chose d'exceptionnel, l'élimination de Valenciennes en demi-finale étant notre objectif à nous, les filles, après avoir atteint celui du club, le Top 4. Maintenant, je n'ai pas envie d'être ridicule comme lors du match retour (Ndlr, elle était blessée à l'aller). »

En interdisant si tôt tout contact avec ses filles, Valéry Demory a lancé un message fort : « Il faut savourer de tels moments et on l'a fait avec la qualification obtenue à Valenciennes, ce voyage retour fantastique, l'accueil génial reçu par nos supporters à la gare... Mais depuis vendredi, on s'est tourné vers cette finale avec l'idée de la savourer pleinement mais de disputer aussi toutes nos chances, à fond. » Après avoir mis en garde ce « groupe qui vit si bien ensemble et est toujours resté soudé dans la difficulté », de « ne pas se laisser griser par l'événement », le ch'ti a préparé son équipe à « un énorme défi. Bourges, c'est plus fort que Valenciennes, apparemment, c'est au-dessus du lot. Il va falloir être adroites, tenir le choc sur le plan physique, se révéler plus constant, aussi, qu'on ne l'a été lors des deux duels en saison régulière. » Tout un programme, à négocier sans Jouandon, blessée depuis des lustres mais surtout, peut-être, sans Aurélie Bonnan qui n'a pas repris l'entraînement depuis le match à Valenciennes, victime d'une infection au colon. L'absence (définitive ?) de la si généreuse "Auré" serait un énorme coup dur pour un effectif déjà réduit. Hier, Valéry Demory parlait d'une « nouvelle tuile » s'abattant sur une équipe qui les aura accumulées tout au long de la saison.

La tuile de trop ? De toutes les façons, après être redescendu de son nuage, il est réclamé au BLMA d'escalader un col de 1 re catégorie deux fois. Avec à la clé, non le fameux maillot à pois, mais un titre auquel d'aucuns, pas trop nombreux tout de même, ne peuvent s'empêcher de rêver. Qui pourrait leur en vouloir !

Pierre DUPERRON

www.midilibre.com a écrit:

Bourges, un si légitime favori

A pareille époque de la saison, Bourges était plutôt habitué à prendre la direction du Nord. « Sincèrement, nous avions cette fois réservé à Montpellier », nous assure Pierre Vincent, interrogé sur l'identité quelque peu surprise de l'adversaire en finale.

Surprise enfin, non, pas tant que cela. « Sur le papier, je les pense plus fortes et plus équilibrées que les Valenciennoises. Le club a pu construire un groupe avec de belles individualités », affirme l'intéressé.
Un groupe sur lequel Bourges a pris logiquement et nettement le meilleur par deux fois lors de la saison (74-49 dans le Cher et 77-65 à Lattes) « mais Lattes-Montpellier a éliminé Valenciennes en demi-finale et en deux manches. On remet donc les compteurs à zéro pour la finale. » Si l'on s'arrête à la lecture des palmarès respectifs ou au bilan actuel de la saison berruyère - Premières de la phase régulière avec un seul échec, vainqueurs lors du Tournoi de la Fédération à Angers, 4 e du Final Four européen à Brno, qualifiées pour la finale de la Coupe de France -, il n'y a pas photo.

Ce statut de favori, Bourges ne peut guère y échapper, « et ce n'est pas la situation la plus facile à gérer. On sait que personne ne nous laissera gagner comme ça. » Pas dupe, l'entraîneur de Bourges et des Bleues ne veut surtout pas se baser sur les deux duels en saison : « Nos succès face à elles ne sont pas une question de tactique de jeu. Nous fonctionnons au match par match et ce sera le cas pour la finale. » Les clés des débats ? « Il va falloir imposer notre rythme, notre défense, qui est depuis de nombreuses années notre marque de fabrique, et contrôler leur scoring avec la qualité de leur jeu en périphérie » , analyse le technicien.

On lui vante la qualité de son effectif mais il ne manque pas de rappeler « que certaines filles n'ont encore rien gagné » , avant de reconnaître que « ces derniers jours, je les ai vues appliquées et sereines, avec une bonne attitude. » Avant ce rendez-vous « qui sera fort émotionnellement, je l'imagine pour le public, les dirigeants, l'équipe » , Pierre Vincent n'ignorait qu'une chose : le titre national de Montpellier en 1953. Il n'était pas né ...

P. D.

Et cheu nous ?

www.lanouvellerepublique.fr a écrit:

La reconquête débute dans l'Hérault

Ce soir, à Montpellier, lors de la finale aller du championnat, Bourges va partir à la conquête d'un 8e titre national. Les Tango partent favorites, mais elles devront se méfier du potentiel offensif des Héraultaises.

La priorité du club, c'est de récupérer le titre de champion de France. La reconquête, c'est d'ailleurs le slogan que l'on peut voir sur tous les panneaux cette saison ! A l'heure de disputer la finale aller du championnat, Pierre Vincent, l'entraîneur berruyer, ne tourne donc pas autour du pot : les Tango sont plus que jamais déterminées à soulever le trophée et à offrir au club berruyer le huitième titre de son histoire, après les six victoires consécutives entre 1995 et 2000 et le succès de 2006.
Pour la toute première fois, l'adversaire proposé à ce stade de la compétition n'est pas Valenciennes, puisque les Nordistes, fragilisées par l'annonce surprise de la fusion de VO avec Saint-Amand, ont baissé pavillon face à Montpellier en demi-finale. « Je suis un peu déçu pour Cédric (Binauld) et Hervé (Coudray) car ils avaient une situation pas facile à gérer, mais en même temps, Montpellier a fait de beaux matchs en demi-finale et mérite sa qualification, précise à ce sujet Pierre Vincent. D'ailleurs, selon moi, l'équipe de Montpellier était meilleure que celle de Valenciennes cette année, avec un effectif mieux équilibré et plus de danger à l'extérieur. »
Avec des joueuses du calibre offensif de Gunta Basko et Grace Dailey, la puissance intérieure de Sandra Dijon et Aurélie Bonnan, l'adresse d'Elodie Bertal, l'expérience de Manic, la formation montpelliéraine, dirigée depuis cette saison par l'ex-international Valéry Demory, a réussi il est vrai un solide parcours en championnat, terminant à la 3e place du championnat, sur les talons de l'USVO. « Montpellier est en finale et c'est sa place cette année, poursuit d'ailleurs Pierre Vincent. Elles sont grandes, athlétiques, adroites. Il leur manque peut-être des rotations, notamment à la mène. Mais avec des joueuses très fortes un contre un comme Dailey et Basko, et un vrai danger à l'extérieur, c'est une équipe compliquée à défendre. Et puis pour elles, la finale, c'est la cerise sur le gâteau et elles voudront faire un truc… »

La détermination tango

Certes, mais lors des deux confrontations en phase régulière du championnat, les coéquipières de Céline Dumerc avaient vite trouvé la solution, notamment sur jeu rapide, pour surprendre et faire déjouer les Montpelliéraines, remportant deux succès faciles (74-49 au Prado, puis 65-77 à Lattes).

Les filles de Pierre Vincent partiront donc largement favorites lors de ce duel au sommet, d'autant plus qu'elles bénéficient de l'avantage du terrain, en cas de belle nécessaire.

La belle forme actuelle affichée par les Tango demeure un élément supplémentaire qui penche en leur faveur. « Les filles sont encore fraîches, reconnaît Pierre Vincent. On part en position de favori mais je ne suis pas inquiet de la réaction des filles. Elles savent ce qu'elles ont à faire, et c'est plutôt bon signe. Il y a aussi de l'énergie, de la détermination, de la dureté dans notre jeu et il faudra donc passer par-dessus beaucoup de choses pour nous battre… »

Montpellier, dont l'unique fait de gloire au plus haut niveau féminin remonte à… 1953, lorsque le Fémina Sport Montpellier avait décroché la première place du championnat de l'époque, rêve bien sûr secrètement de le faire. Mais dans la chaleur annoncée de la salle de Lattes, les Tango comptent bien refroidir l'enthousiasme héraultais dès ce soir, avant le match retour, samedi, au Prado.

Jean-Marc DURET

petite question : est-ce que le match est retransmis sur internet , je veux dire avec des images, pas avec un live qui ne fonctionne pas

J'ai un doute, s'il est sur Sport+, en général il n'est pas sur LFB TV... Mais je peux me tromper et te souhaite de me tromper...

j'espère aussi , quoi qu'il en soit je suivrai quand même le live

nan il n'est pas sur la lfbtv!!!ba oui faut bien faire marcher les sponsors!!!

caps forever a écrit:

ba oui faut bien faire marcher les sponsors!!!

oui il parait